Debbie Wilson

Ballet

Chorégraphe indépendante, Debbie Wilson a créé un vaste répertoire de productions acclamées par la critique, dont Aphrodite Unveiled, Raphael is whispering, et Homo Office Sapiensis qui fut en nomination pour le prix Dora 2002 dans la catégorie Nouvelle chorégraphe remarquable. Grâce à ses collaborations internationales, telles Planetarium (avec la Macédoine du Nord) et Diary of an Exile (avec Trinidad et Tobago), elle a ouvert les scènes torontoises à d’exceptionnels danseurs, musiciens et autres artistes étrangers, tout en représentant Toronto et le Canada sur les scènes du monde. En octobre 2005, elle a l’insigne honneur d’être invitée à présenter Planetarium dans la Salle des assemblées du Palais des Nations, à Genève, en Suisse, lors des célébrations du 60e anniversaire de création des Nations Unies. Activiste de la danse socialement engagée, Debbie Wilson s’appuie sur son art pour créer des liens entre les gens et les cultures. Ses thèmes chorégraphiques sont un miroir de l’environnement social actuel et jettent sur la condition humaine un regard que ses divers publics ont jugé émouvant, pertinent, limpide et, surtout, très puissant. Très impliquée auprès de plusieurs groupes communautaires nationaux et internationaux qui fournissent de l’aide dans les secteurs de l’action sociale et de la santé, elle fut membre du Conseil d’administration de la Toronto People With AIDS Foundation pendant 6 ans, et siégea sur les comités Levée de fonds, Communications, Planification stratégique et Rallye Vélo. Debbie a amorcé sa carrière professionnelle dès l’âge de 12 ans, à la Cincinnati Ballet Company, dont elle devint éventuellement soliste et adjointe à la répétition. Danseuse et répétitrice avec The American Dance Machine, Les Ballets Jazz de Montréal, le Howard Richard & Dancers et le Ballet Jorgen, elle a également travaillé avec la Judith Marcuse Repertory Dance Company, le Randy Glynn Dance Project et plusieurs chorégraphes indépendants partout au Canada et aux États-Unis.